Chocolats De NEUVILLE, pourquoi je suis contre
Je vais vous parler des chocolats de la marque DE NEUVILLE. Le principe est le même : comme Leonidas, Jeff de Bruges, Daskalidès...ce sont des réseaux de franchisés.
***Je voudrais tout d'abord vous dire que l'avis qui va suivre a été très modifié car j'ai reçu des menaces de la part de la direction de la franchise pour propos injurieux, diffamatoires et calomnieux. Aussi, une procédure judiciaire aurait été lancée contre moi.
J'ai donc supprimé tous les noms qui étaient déjà écrits pourtant avec des initiales, j'ai enlevé tous les mots pouvant s'apparenter à des insultes mais je tiens à garder entièrement ma liberté d'expression et à dire ce que je pense de l'entreprise en tant que client et candidat à la franchise.
Mais le directeur m'a demandé de supprimer tout l'article ce que je conteste car c'est contraire à toute liberté de parole. Je laisse donc chacun juge de la situation car si je veux bien modifier mon article, je ne pense pas qu'on puisse interdire de dire ce que l'on pense.***
ARTICLE :
Etant en recherche d'emploi depuis assez longtemps, connaissant les difficultés et les obstacles que cela génère, j'ai eu l'idée comme beaucoup de créer une entreprise. Etant donné cette difficulté, je me suis intéressé à la franchise. En voulant concilier ce que l'on peut faire, ce que l'on sait faire, son budget, j'ai été intéressé par le chocolat sous franchise car les franchiseurs ont en théorie l'avantage d'aider les futurs franchisés dans leurs démarches de reprise ou de création contrairement à un indépendant qui doit tout faire et qui ne dispose pas d'une marque connue.
De Neuville n'est pas la marque la plus connue et la plus reconnue auprès du consommateur : elle arrive en 3ème position assez loin derrière Leonidas et Jeff de Bruges selon des sondages. Elle possède un CA moyen par boutique inférieur aux 2 premières et possède des royalties à reverser les plus élevés.
Donc j'ai contacté De Neuville et j'ai fait un premier entretien avec un commercial qu'on va appeler X. Ce premier entretien, difficile à avoir, a eu lieu dans un café. D'abord, il fume et ne me demande pas si cela me dérange (bon à la fin il a payé la consommation ce qui rattrape un peu la chose même si je ne supporte pas la fumée et que je n'ai rien dit par politesse).
On fait connaissance à peu près comme dans tout entretien.
Je lui ai demandé s'il avait des reprises en ce moment d'une manière générale, il me dit qu'il n'en aurait que 2 sur 10 à me proposer car ma personnalité ne correspondrait pas à la clientèle des autres magasins.
Je lui demande justement quelle est ma personnalité, quelle est cette clientèle spéciale. Je n'ai pas obtenu de réponse précise. Je trouve cela surprenant.
A l'issu de l'entretien, il me propose une journée découverte pour découvrir un magasin du réseau. Je l'avais déjà fait avec Jeff donc je connaissais le principe.
En une journée on n'apprend rien de spécial, il faut le dire. Un client régulier en sait presque autant même plus car il connaît parfois toutes les gammes et le fonctionnement du service.
Cependant on apprend quand même que l'on passe son temps à faire des nœuds, des rubans, des compositions de chocolats pour remplir les rayons donc beaucoup de travail manuel que l'on ne voit pas en tant que client.
Quand je suis sorti avec lui de l'entretien, il me dit de voir les autres franchises, de ne pas me concentrer sur De Neuville. Alors, je lui fais comprendre que j'ai déjà réfléchi à la question et que les autres franchises sont trop complexes, difficiles et chères par rapport à moi qui n'ait pas d'expérience en général. Et que j'aime bien le chocolat aussi et que la marque apporte un plus de même que l'expérience d'un franchiseur.
Je vais à la journée découverte. La journée, cela s'est bien passé, j'ai posé beaucoup de questions. Et j'ai envoyé ensuite un mail à X pour remercier la patronne de la boutique. Pas de réponse, est-il surchargé ou ne veut-il pas répondre?
Je le vois ensuite au salon de la Franchise car il m'avait conseillé d'aller voir les autres enseignes à notre premier entretien.
J'ai attendu toute la journée pour pouvoir le voir car il était occupé avec d'autres personnes. Je vais le voir en fin de journée.
Il décide de me présenter le PDG. Le début commence à peu près bien puisque on me demande dans combien de temps je souhaite commencer. Je dis le plus tôt possible dès qu'une opportunité se présente, je suis prêt et toujours partant.
ET X me dit qu'ils n'ont rien en ce moment alors que je vous rappelle qu'il avait dit qu'il aurait des choses à me proposer avec un très grand sourire.
Il n'a rien donc et me dit de ne pas hésiter à continuer de faire le tour des concurrents et de me décider, comparer leurs offres et choisir lequel qui me plaît le mieux. Intérieurement, je me dis, il se moque de moi. Cela fait des semaines que je dis que je souhaite collaborer avec eux, que je suis venu pour les voir entre autre. Il me cache donc quelque chose et il me semble que c'est malhonnête de ne pas dire ce que l'on pense en face des gens et de leur faire perdre du temps en leur faisant croire que ça arrivera.
Alors, ayant compris qu'il n'était pas très intéressé par moi et qu'il ne le disait pas, je réponds de manière un peu directement que j'ai en effet des adresses de Leonidas, Jeff et que je prendrais la meilleure opportunité qui vient. Je modère mes propos toutefois en disant que chacun a ses qualités, ses défauts mais que j'aime vraiment bien la franchise et ses opportunités.
Mais à la fin il répète encore d'aller voir les autres. Je lui dis au revoir et je savais bien que c'en était fini. Ce qui est étonnant aussi, c'est qu'il avait une boutique dans le sud à reprendre mais il m'a découragé formellement de partir car c'est trop loin pour moi, que j'ai tous mes amis ici, ce qui est absurde car je suis mobile comme des millions de gens en France je pense et qu'on n'a pas le choix de nos jours.
Il me rappelle plusieurs jours après pour me dire qu"il ne me sentait pas". Et qu'il n'a pas apprécié quand j'ai dit selon lui : "je suis allé voir les concurrents, je prendrai la meilleure opportunité et si c'est pas de Neuville, je m'en fiche". Une déformation des propos évidente puisque je n'ai jamais dit "je m'en fiche", ce qui est mensonger. Mais il l'a dit à ma copine pas à moi directement, ce qui est plus facile de le dire derrière le dos des gens.
En fait, en écrivant tout cela, ce n'est pas la même chose que de le vivre. En effet, on peut discuter si je suis fait ou pas fait pour cela mais je n'approuve pas qu'on ne dise pas la vérité, ni ce que l'on pense et surtout qu'on pousse à dire effectivement une phrase mal interprétée pour pouvoir prouver à son avantage que l'on a raison.
Certes, pendant la journée découverte, je n'ai pas vendu et j'ai paru peut-être top réservé mais la vérité est pour moi ailleurs. Car on ne peut pas juger les gens sur une journée. Ce que j'ai ressenti réellement, c'est que X avait des préjugés comme beaucoup en France sur les jeunes, au chômage qui ne sont pas dans la vente en plus qui débarquent. Et en cherchant des détails, on peu trouver toujours des choses négatives. C'est un processus inconscient peut-être mais c'est la vérité. De Neuville ne diffère pas beaucoup par rapport aux autres entreprises et on ne peut pas dire qu'ils sont ouverts d'esprit pour avoir la motivation de recruter des gens comme moi. Ils se vantent beaucoup d'accepter des gens de tout horizon mais forcer est de constater que ça n'a pas l 'air vrai.
Quoiqu'il en soit, je me suis trompé sur le fait que si j'allais voir cette franchise, je bénéficierais du soutien nécessaire pour réussire et travailler en commun. Je n'ai à ce jour aucun argument de leur part pour comprendre leur refus. Il faut se rendre à l'évidence, pour moi, De Neuville ne diffère pas de toutes les entreprises que j'ai rencontrées pour le recrutement. Il y a souvent beaucoup d'hypocrisie derrière.
Sur le moment, j'avais été très déçu par eux. Je pensais rencontrer une véritable aide. Voilà où j'en suis avec
***Je voudrais tout d'abord vous dire que l'avis qui va suivre a été très modifié car j'ai reçu des menaces de la part de la direction de la franchise pour propos injurieux, diffamatoires et calomnieux. Aussi, une procédure judiciaire aurait été lancée contre moi.
J'ai donc supprimé tous les noms qui étaient déjà écrits pourtant avec des initiales, j'ai enlevé tous les mots pouvant s'apparenter à des insultes mais je tiens à garder entièrement ma liberté d'expression et à dire ce que je pense de l'entreprise en tant que client et candidat à la franchise.
Mais le directeur m'a demandé de supprimer tout l'article ce que je conteste car c'est contraire à toute liberté de parole. Je laisse donc chacun juge de la situation car si je veux bien modifier mon article, je ne pense pas qu'on puisse interdire de dire ce que l'on pense.***
ARTICLE :
Etant en recherche d'emploi depuis assez longtemps, connaissant les difficultés et les obstacles que cela génère, j'ai eu l'idée comme beaucoup de créer une entreprise. Etant donné cette difficulté, je me suis intéressé à la franchise. En voulant concilier ce que l'on peut faire, ce que l'on sait faire, son budget, j'ai été intéressé par le chocolat sous franchise car les franchiseurs ont en théorie l'avantage d'aider les futurs franchisés dans leurs démarches de reprise ou de création contrairement à un indépendant qui doit tout faire et qui ne dispose pas d'une marque connue.
De Neuville n'est pas la marque la plus connue et la plus reconnue auprès du consommateur : elle arrive en 3ème position assez loin derrière Leonidas et Jeff de Bruges selon des sondages. Elle possède un CA moyen par boutique inférieur aux 2 premières et possède des royalties à reverser les plus élevés.
Donc j'ai contacté De Neuville et j'ai fait un premier entretien avec un commercial qu'on va appeler X. Ce premier entretien, difficile à avoir, a eu lieu dans un café. D'abord, il fume et ne me demande pas si cela me dérange (bon à la fin il a payé la consommation ce qui rattrape un peu la chose même si je ne supporte pas la fumée et que je n'ai rien dit par politesse).
On fait connaissance à peu près comme dans tout entretien.
Je lui ai demandé s'il avait des reprises en ce moment d'une manière générale, il me dit qu'il n'en aurait que 2 sur 10 à me proposer car ma personnalité ne correspondrait pas à la clientèle des autres magasins.
Je lui demande justement quelle est ma personnalité, quelle est cette clientèle spéciale. Je n'ai pas obtenu de réponse précise. Je trouve cela surprenant.
A l'issu de l'entretien, il me propose une journée découverte pour découvrir un magasin du réseau. Je l'avais déjà fait avec Jeff donc je connaissais le principe.
En une journée on n'apprend rien de spécial, il faut le dire. Un client régulier en sait presque autant même plus car il connaît parfois toutes les gammes et le fonctionnement du service.
Cependant on apprend quand même que l'on passe son temps à faire des nœuds, des rubans, des compositions de chocolats pour remplir les rayons donc beaucoup de travail manuel que l'on ne voit pas en tant que client.
Quand je suis sorti avec lui de l'entretien, il me dit de voir les autres franchises, de ne pas me concentrer sur De Neuville. Alors, je lui fais comprendre que j'ai déjà réfléchi à la question et que les autres franchises sont trop complexes, difficiles et chères par rapport à moi qui n'ait pas d'expérience en général. Et que j'aime bien le chocolat aussi et que la marque apporte un plus de même que l'expérience d'un franchiseur.
Je vais à la journée découverte. La journée, cela s'est bien passé, j'ai posé beaucoup de questions. Et j'ai envoyé ensuite un mail à X pour remercier la patronne de la boutique. Pas de réponse, est-il surchargé ou ne veut-il pas répondre?
Je le vois ensuite au salon de la Franchise car il m'avait conseillé d'aller voir les autres enseignes à notre premier entretien.
J'ai attendu toute la journée pour pouvoir le voir car il était occupé avec d'autres personnes. Je vais le voir en fin de journée.
Il décide de me présenter le PDG. Le début commence à peu près bien puisque on me demande dans combien de temps je souhaite commencer. Je dis le plus tôt possible dès qu'une opportunité se présente, je suis prêt et toujours partant.
ET X me dit qu'ils n'ont rien en ce moment alors que je vous rappelle qu'il avait dit qu'il aurait des choses à me proposer avec un très grand sourire.
Il n'a rien donc et me dit de ne pas hésiter à continuer de faire le tour des concurrents et de me décider, comparer leurs offres et choisir lequel qui me plaît le mieux. Intérieurement, je me dis, il se moque de moi. Cela fait des semaines que je dis que je souhaite collaborer avec eux, que je suis venu pour les voir entre autre. Il me cache donc quelque chose et il me semble que c'est malhonnête de ne pas dire ce que l'on pense en face des gens et de leur faire perdre du temps en leur faisant croire que ça arrivera.
Alors, ayant compris qu'il n'était pas très intéressé par moi et qu'il ne le disait pas, je réponds de manière un peu directement que j'ai en effet des adresses de Leonidas, Jeff et que je prendrais la meilleure opportunité qui vient. Je modère mes propos toutefois en disant que chacun a ses qualités, ses défauts mais que j'aime vraiment bien la franchise et ses opportunités.
Mais à la fin il répète encore d'aller voir les autres. Je lui dis au revoir et je savais bien que c'en était fini. Ce qui est étonnant aussi, c'est qu'il avait une boutique dans le sud à reprendre mais il m'a découragé formellement de partir car c'est trop loin pour moi, que j'ai tous mes amis ici, ce qui est absurde car je suis mobile comme des millions de gens en France je pense et qu'on n'a pas le choix de nos jours.
Il me rappelle plusieurs jours après pour me dire qu"il ne me sentait pas". Et qu'il n'a pas apprécié quand j'ai dit selon lui : "je suis allé voir les concurrents, je prendrai la meilleure opportunité et si c'est pas de Neuville, je m'en fiche". Une déformation des propos évidente puisque je n'ai jamais dit "je m'en fiche", ce qui est mensonger. Mais il l'a dit à ma copine pas à moi directement, ce qui est plus facile de le dire derrière le dos des gens.
En fait, en écrivant tout cela, ce n'est pas la même chose que de le vivre. En effet, on peut discuter si je suis fait ou pas fait pour cela mais je n'approuve pas qu'on ne dise pas la vérité, ni ce que l'on pense et surtout qu'on pousse à dire effectivement une phrase mal interprétée pour pouvoir prouver à son avantage que l'on a raison.
Certes, pendant la journée découverte, je n'ai pas vendu et j'ai paru peut-être top réservé mais la vérité est pour moi ailleurs. Car on ne peut pas juger les gens sur une journée. Ce que j'ai ressenti réellement, c'est que X avait des préjugés comme beaucoup en France sur les jeunes, au chômage qui ne sont pas dans la vente en plus qui débarquent. Et en cherchant des détails, on peu trouver toujours des choses négatives. C'est un processus inconscient peut-être mais c'est la vérité. De Neuville ne diffère pas beaucoup par rapport aux autres entreprises et on ne peut pas dire qu'ils sont ouverts d'esprit pour avoir la motivation de recruter des gens comme moi. Ils se vantent beaucoup d'accepter des gens de tout horizon mais forcer est de constater que ça n'a pas l 'air vrai.
Quoiqu'il en soit, je me suis trompé sur le fait que si j'allais voir cette franchise, je bénéficierais du soutien nécessaire pour réussire et travailler en commun. Je n'ai à ce jour aucun argument de leur part pour comprendre leur refus. Il faut se rendre à l'évidence, pour moi, De Neuville ne diffère pas de toutes les entreprises que j'ai rencontrées pour le recrutement. Il y a souvent beaucoup d'hypocrisie derrière.
Sur le moment, j'avais été très déçu par eux. Je pensais rencontrer une véritable aide. Voilà où j'en suis avec